George Eastman House : Nickolas Muray sur Flickr

Nickolas Muray.jpg

Born in Hungary in 1892, Nickolas Muray immigrated to the United States in 1913, working first as a printer and then opening a photographic portrait studio in
Greenwich Village in 1920. He became well known for his celebrity portraits, publishing them regularly in Harper’s Bazaar, Vanity Fair, Vogue, Ladies’ Home Journal, and The New York Times. After 1930, Muray turned away from celebrity and theatrical portraiture, and became a pioneering commercial photographer, famous for establishing many of the conventions of color advertising. He is considered the master of the three-color carbro process.
A colorful and charismatic character, Muray was a pilot, a member of the
US Olympic fencing team, and the long-time lover of Frida Kahlo, whom he regularly photographed in some of his best-known work. He was a distinguished art collector, best known for his collection of twentieth-century Mexican paintings, and a regular columnist for the magazine Dance.
In 1974, Muray’s archive was donated to George Eastman House.
It includes approximately 25,000 images including photographic prints, negatives, transparencies and advertising tear sheets.
The photographs in this set are examples of Muray’s commercial advertising work. George Eastman House obtained permission to share these images on The Commons from the Estate of Nickolas Muray.

(Merci Dim)

13 comments

  1. j’adore. je me suis un jour amusée à coloriser des photos couleurs passées en noir et blanc et à leur donner cet aspect délavé des vieux magazines life. cela me rapelle mon sujour près du hoover dam, colorado+cactus+motel+piscine, une certaine madeleine donc

  2. Je ne sais pas en quoi consiste le “three-color carbro process” mais j’imagine qu’il fallait être autant alchimiste que photographe pour produire ça 😉 Très impressionnant en tout cas.

  3. http://www.freethesaurus.info/tgm2/?tema=1114

    Si je me souviens bien de mes cours de photos à l’inraci, il y eu des appareils photos et des caméras cinémas, qui contenaient trois films, un pour chaque primaire RGB et qui etaient exposés séparément aux travers de prismes et de filtres, le tout développé séparément puis rassemblé au tirage, bref une bonne prise de tête avant l’invention des 3 couches superposées en argentique

  4. J’avais oublié que tu avais fréquenté l’Inraci, ses labos au bord de l’explosion et ses chambres noires propices aux rencontres. Souvenirs, souvenirs…

  5. Quand j’y étais, les labo avaient été déménagés dans les combles suite à un incendie/explosion… L’argentique, c’était quand même rock n’roll

  6. Chaque génération a eu droit à son explosion.
    Moi,c’est le cours de chimie qui s’est retrouvé dans les combles suite à la désintégration du précédent local.
    Pour les rencontres,le labo couleur était l’endroit idéal .Malheureusement pour moi,il n’y avait pas grand chose à rencontrer.

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