Les articles ne manquent pas sur le dernier Harry Potter et surtout sur les mesures de sécurité qui l’entourent. Des stocks surveillés par des gardes armés, une impression dans le noir, et des caisses scellées à n’ouvrir que le 21 juillet (quoiqu’il faut séparer le vrai du coup de pub dans ces déclarations) Tout cela était très prévisible et pas très intéressant. Par contre, il y a eu des traitements de faveur : j’ai découvert que les bibliothèques américaines ont reçu le livre en primeur et ont pu le consulter afin de le catalographier et de l’équiper pour samedi matin. Cela file un coup à l’image des bibliothèques avec des délais d’acquisition interminables…