3 comments

  1. Disons que l’édition francophone a une autre approche. Il y a une certaine présomption que le contenant n’est pas aussi important que le contenu. Il y a un certain rejet d’une culture commerciale de la part de l’édition “intellectuelle”. C’est perçu comme vulgaire et tape à l’oeil. Je me demande si il n’y a pas également une tendance chez les éditeurs francophones à centraliser les décisions? Mettre le dernier mot des décisions de présentation graphique entre les mains de personnes spécialisées dans l’analyse littéraire n’est peut-être pas la meilleure stratégie de distribution du contenu. Les excellentes couvertures qui sont présentées sur le site que tu nous proposes sont à mon avis loin de toute vulgarité bassement commerciale. J’aime beaucoup! Cela donne envie d’écrire et/ou de publier 🙂

  2. Je crois aussi qu’il y a une tradition de la communication visuelle dans les pays anglo-saxons. Le design y a gagné ses lettres de noblesse alors que ce n’est pas encore tout à fait le cas en France ou en Belgique…

  3. Oui, c’est une hypothèse sérieuse. PS: Les couvertures de livres au Québec ne sont pas nécessairement plus excitantes qu’en Europe francophone.

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