Washington Post : a librarian's lament: books are a hard sell

Dans cette colonne du Washington Post, un bibliothécaire d’école se plaint de la transformation du métier de bibliothécaire et du désintérêt des jeunes pour la lecture. Pour lui, les bibliothécaires sont de moins en moins des amoureux et des spécialistes du livre et de plus en plus des techniciens et gestionnaires d’information. Sur ce point, la situation belge est encore inverse. Parmi les étudiants de bibliothéconomie que j’ai rencontré, j’ai plus souvent vu des amoureux de la lecture que des techniciens. Par contre j’avoue que cela dépends des écoles de bibliothécaires. Certaines (comme Infodoc à l’ULB par exemple), se concentrent plus sur l’informatique et produit des bibliothécaires plus orientés technique mais l’impulsion de base pour ces études reste souvent le livre. Quand au désintérêt des jeunes pour la lecture, je ne travaille pas depuis assez longtemps en bibliothèque pour juger un changement, mais je peux vous affirmer qu’à tous les âges, de toutes cultures et origines, les gens lisent, et ils aiment ça.
(Merci Colin)

youtube : spiders on drugs

Vous vous souvenez peut-être de cette vidéo scientifique de la fin des années 70 (je crois) qui montrait des araignées tissant leur toile après que l’on leur aie administré du LSD. La voici sur YouTube, avec une petite différence…
(Merci Laurent)

utilisation de dance dance revolution en bibliothèque

Voici une pratique hautement expérimentale utilisée en bibliothèque : une jeune bibliothécaire américaine conserve le jeu Dance Dance Revolution à portée de main. Le jeu lui sert a régler les conflits avec les jeunes lecteurs. Elle y joue contre eux pour leur laisser la possibilité de ne pas payer leurs amendes de retard ou s’en sert pour régler les différends entre lecteurs. A y réfléchir, ici, je crois que ce genre de pratique serait tout simplement impossible…

the low tech library

The low tech library : une bibliothèque post-apocalyptique. Une bibliographie assez spécifiquement Nord-Américaine mais j’aime beaucoup le concept : dans le cas d’un effondrement de la civilisation technologique, les auteurs ont rassemblé des titres d’ouvrages nécessaires aux humains pour survivre : culture, plantes médicinales, survie dans la nature ou en ville, … J’aime l’idée d’une micro bibliothèque compilée par des alter/hippies/survivalistes.

l'iphone au secours de l'ebook business ?

Le futur iphone pourra-t-il booster ce serpent de mer qu’est l’ebook ? Certains pensent que oui. Pour ma part j’attends de trouver un support digital convaincant pour la lecture de livres. Jusqu’ici je n’en ai pas encore trouvé. Par contre j’aime assez la lecture de mangas/comics/bande dessinées au format pdf sur ce genre de support et la navigation tactile de l’iphone pourrait s’avérer parfaite.