mastermind

Si, comme moi, vous êtes né dans les années 70, vous vous souviendrez peut être du jeu de société Mastermind. Pas obligatoirement du jeu lui même mais surtout de l’image de la boîte. Alors que la plupart des jeux de société utilisaient une imagerie assez banale (des enfants en train de jouer au jeu ou bien l’une ou l’autre illustration foireuse), pour Mastermind c’était tout le contraire. Un barbu digne des méchants de James Bond accompagné d’une jeune asiatique (maîtresse, assassin, un peu des deux ?). Moi en tout cas c’est une image qui m’est restée. Et bien, merci Internet, voici l’histoire du shooting (assez hasardeux) de cette photo…
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DM of the rings

DM of the rings ou lorsque le seigneur des anneaux est une partie de jeux de rôle. Le tout est présenté sous la forme d’un roman photo et c’est absolument hilarant. Un remède aux coups de blues.

utilisation de dance dance revolution en bibliothèque

Voici une pratique hautement expérimentale utilisée en bibliothèque : une jeune bibliothécaire américaine conserve le jeu Dance Dance Revolution à portée de main. Le jeu lui sert a régler les conflits avec les jeunes lecteurs. Elle y joue contre eux pour leur laisser la possibilité de ne pas payer leurs amendes de retard ou s’en sert pour régler les différends entre lecteurs. A y réfléchir, ici, je crois que ce genre de pratique serait tout simplement impossible…

Sfar et les jeux de rôle

Une interview de Sfar dans le magazine Cassus Belli. Il y parle de l’influence des jeux de rôle sur ses bandes dessinées. Il cite par exemple Maléfices comme influence majeure pour sa série Professeur Bell. On y retrouve également des références claires à l’Appel de Cthulhu. Tout particulièrement dans la promenade des anglaises. Je viens d’acheter la série pour la bibliothèque et c’est intéressant de voir comment la série s’enfonce dans la noirceur, le sexe et la violence depuis la collaboration de Sfar avec Tanquerelle.