Malgré les multiples piles de livres qu’il me reste à lire, je suis pris de temps en temps d’envies de relecture. Assez curieusement, ce sont des principalement des romans de science-fiction cyberpunk. Souvent du William Gibson pour être plus précis. Je ne sais absolument pas pourquoi je suis pris de ces crises… Cette fois ci, c’était du Neal Stephenson avec Snow Crash, le roman qui l’a fait connaître. Je ne vais pas trop m’étendre sur le sujet ici. Stephenson et Snow Crash ont été traités à profusion sur Internet. L’auteur est vite devenu un favori des informatico –geeks fans de sf. Pour plus de détails sur le livre, je vous renvoie à la notice de wikipedia. Si vous ne le connaissez pas encore, je vous conseille ce roman (post)cyberpunk qui mélange dans un grand fouilli souvent jubilatoire des visions futuristes de privatisation et balkanisation des Etats-Unis, un univers virtuel qui a inspiré Second Life, des outils informatiques qui ont inspirés Google Earth, des virus neurolinguistiques et la livraison de pizzas.
La relecture de Snow Crash était annonciatrice d’une poussée d’envie de sf. En gros, je suis en train de lire Olympos, de Dan Simmons, la suite de l’excellent Illium. Et ont été achetés, sont en commande ou en voie d’être achetés : Eastern Standard Tribe de Cory Doctorow, Accelerando de Charles Stross (je sais que les deux sont disponibles gratuitement en version electronique, mais je préfère le papier et autant encourager ce genre d’initiatives), River of Gods de Ian McDonald et The Algebraist de Iain M. Banks. Si cela vous intéresse, ces deux derniers ouvrages sont disponibles dans l’offre estivale de deux livres plus un gratuit chez Waterstones (en tout cas ici à Bruxelles). Plus d’infos quand j’aurais lu tout ça…