Les bibliothécaires texanes tatouées se font calendar girls pour une bonne cause.
(via)
Smurfs Wars
Smurf wars : un synopsis de comics adulte sur les schtroumpfs, accompagné de fantastiques projets d’affiches de films.
Minimal Mac
Le blog Minimal Mac : ou comment épurer son mac
(via)
Autodafés d'ebooks : l'ignorance c'est la force
La nouvelle des techniques d’erradiction de livres par Amazon a fait le tour d’Internet. De mon côté je suis en train de lire un livre dont l’action se déroule durant les autodafés de la guerre d’Espagne. Je crains que la destruction des e-books fera beaucoup moins de fumée mais sentira tout aussi mauvais.
Bruxelles : petite exposition d'origami
Petite exposition d’origami dans la cave gallerie du restaurant Triskell 150 avenue Brugman 1190 Bruxelles
cgunit
Une découverte matinale et une mine d’or de créations graphiques et photographiques : cgunit, site montréalais créé par Benoit Blouin. Yum, yum…
créatif public : Le rôle des Espaces Publics Numériques dans l’accompagnement des publics "demandeurs d’emploi"
Sur Créatif Public : Le rôle des Espaces Publics Numériques dans l’accompagnement des publics “demandeurs d’emploi”. Une tendance de fonds en bibliothèque durant cette période de crise.
kmr
Les magnifiques illustrations de Kmr.
(via l’indispensable Maïa Mazaurette)
eye candy
Un buffet visuel pour bien commencer la journée:
- Flickr : les photos de Federico Erra, images, textures et livres d’artistes de les brumes, les photos de Sasha Nikitin, du beau moyen format par Benoît Paille et de la street photo sans prétention par Major Deegan.
- Tumblr (gros dealers pour les accros aux images) : arts and crafts & this isn’t happiness.
- En bonus : 53 photos de Akif Hakan Celebi (dont je parlais déjà ici) grand maître de la couleur (toujours via)
Morphia
Morphia d’Alexei Balabanov : une très belle mise en images inspirée de textes autobiographiques de Mikhaïl Boulgakov. Boulgakov, connu principalement pour son chef d’oeuvre le Maître et Marguerite relate dans ces textes ses débuts en tant que médecin dans un dispensaire reculé de la campagne russe. Il y devient progressivement accro à la morphine et dans le film (cela diverge par rapport à ses textes) il sombre dans la déchéance la plus totale. Cette spirale infernale fait penser à requiem for a dream transposé dans une Russie en pleine révolution (on est en 1914). J’ai beaucoup aimé et cela m’a donné envie de de lire et relire l’excellent Boulgakov…
Je n’aurais été voir que deux film au festival de l’âge d’or cet année mais c’est mieux que rien et je suis assez satisfait de ce que j’ai été voir. Je suis juste déçu d’avoir raté le roi de l’évasion, que je voulais aller voir et qui a justement gagné le prix de l’âge d’or de cette année.